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Winds of Sorrow est l'une des multiples facettes de l'artiste néo-zélandais Mort et aussi l'une des plus brèves puisque seul Through Twilight... naîtra sous ce patronyme. Mort part d'un bon concept, à savoir créer un doom metal/dungeon avec une emphase sur ce dernier, mais voit trop grand en visant le format de l'album alors qu'une démo était suffisante. Les atmosphères gothiques et parfois folkloriques sont envoûtantes mais couvrent trop une voix qu'on finit par oublier. Un album sympathique. Jordan Vauvert
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Faire passer le black par un équipement daté pour rendre le son brut de décoffrage, j'ai longtemps pensé que c'était Staurophagia le maître en la matière mais Obsidian Tongue l'a fait avant lui et tout aussi bien dans son premier opus, Volume I: Subradiant Architecture. On se retrouve ainsi avec un black metal qui rend hommage à l'école norvégienne, entre poésie ésotérique ("Approaching the Well", "It Dangles from the Bones") et guitares furieuses, mais il est aussi très moderne. Un bon album ! Jordan Vauvert
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C'est à partir de The Gathering, compilation rassemblant plusieurs E.P. et splits de Galaktik Cancer Squad, que le patronyme choisi par Argwohn prend toute sa signification. Les pistes, toutes instrumentales ("Oceans of Piss and Blood" et "Separation" exceptées) ont une envergure cosmique, ce sont des systèmes en évolutions spectaculaires. Mais de l'autre côté, le black metal est encore moins atmosphérique, il se fait contaminer et transformer par toute une variété de genres. Technique, épique ! Jordan Vauvert